Mais les mouvements sociaux péruviens disposent d’une énorme capacité de mobilisation. En plus de faire tomber les régimes de Francisco Morales Bermudez (1978) et d’Alberto Fujimori (2000), ils ont, en 2006, fait du parti nationaliste d’Ollanta Humala, la deuxième force politique du pays :
« Par la polarisation qu’elle engendre, conclut Monica Bruckman, la politique brutale de M. Garcia crée la condition d’une offensive de ces organisations politiques progressistes. La répression est une arme puissante mais aussi très dangereuse : elle peut se retourner contre celui qui en use. »



ITINERANCE-ANDINE
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