Roberto nous émeut.
On devine dans ses yeux la lutte au quotidien pour gagner péniblement
sa vie.
On sent dans son cœur une franche gentillesse et une douce humilité.
Son discours laisse entendre une soif d'équité et de justice
sociale.
Petit Roberto tout rond qui nous accompagne à la frontière
chilienne, tu es, hélas, le dernier visage bolivien avant notre
passage dans l'autre monde, le monde « riche ».
Serrements de mains. Remerciements. Pincements de cœurs...
Le peuple bolivien nous manque déjà.
Tout sera différent, après.